Le 7 avril
Mancu Morta de Coco Orsoni (Versusfilm, Corsesca production)
→ Barberine décide d’organiser son faux enterrement afin de bénéficier de sa loi sur les arrêtés Miot pour sa famille, et voir aussi qui viendra à son enterrement.
Dolce Vendetta de Marie-Jeanne Tomasi (Sinemassoci, Belvedere Films)
→ Un couple dans son quotidien. À elle les enfants et la maison, à lui les cafés et les paysages alentours jusqu’à la mer. Légataire de tout un passé de traditions, elle va s’en souvenir pour une étonnante vengeance.
The Unvisited de Rebekah Fieschi (Horromance Productions)
→ Un vieux couple dans une maison sinistre se plaît à partager le crépuscule de leurs vies ensemble…
La nuit est là de Delphine Leoni (Allindì, Tamara films, Stanley White) Avec Raphaële Godin, Pascal Tagnati et Cédric Appietto
→ Comment vivre lorsque l’on risque de croiser les assassins de son amoureux au coin de la rue, dans un restaurant ou dans un club, parce que la justice n’a pas fait son travail ?
Féeroce de Fabien Ara (respiro productions, Manifest)
→ « Je veux être une fille, maman. » Alma, pétrifiée, ne sait comment réagir, son fils de huit ans veut dorénavant s’habiller en fée pour aller à l’école. Elle demande de l’aide à sa voisine, c’est finalement tout l’immeuble qui va débattre sur son droit au genre.
Une table ronde organisée par la Fondation Des Femmes est organisée et présentée par Julie Gayet qui présentera les actions et les combats que mène cette structure de référence pour la liberté et les Droits des Femmes et contre les violences dont elles sont victimes.
Cette table ronde est précedée de Genre Quoi – La Femme corse, de Julie Allione
→ On va parler ici de ce qui fait la singularité de naître et d’être élevée comme une femme en Corse. Une Colomba sommeille-t-elle en chacune de nous ?
Le 8 avril
Sylphvania Grove de Rebekah Fieschi (Adam Harvanek , Horromance Productions)
Une petite fille isolée à l’école comme à la maison ne trouve refuge que dans les contes de fées. La nuit tombée, une créature magique sort de son livre et l’invite à la suivre dans les bois où elle fera une découverte fantastique.
Entre la nuit d’Océane Court-Mallaroni (andolfi [production])
C’est le dernier voyage d’un frère, Johann et d’une soeur, Olivia. Ils se font leur adieux, à leur façon, dans l’habitacle d’une voiture, qui roule à vive allure, dans la nuit noire d’un mois de janvier. Johann ne sait pas où Olivia l’emmène. La route est longue, leurs silences sont lourds, l’envie de réussir à se comprendre une dernière fois est palpable.
Résurrection de Florian Steinbach et Delia Sepulcre Nativi (Delia Sepulcre Nativi)
Une jeune fille fuit ses démons. Son instinct de survie lui donne la force d’abandonner ce qui l’anéantit. C’est son ombre qui lui permettra de renaître.
Un coeur de femme de Marie Murcia et Coco Orsoni (Folle allure)
Une petite ville de Méditerranée se réveille. C’est l’histoire de cinq amies qui courent ensembles au quotidien après leur vie…
Contact de Florent Agostini (Newkidproduction)
Un très court-métrage sur ces nouveaux métiers du XXIème siècle..
Mi pari avà de Maria-Francesca Valentini (Allindì , Maria-Francesca Valentini)
Marie-Françoise Valentini à un mois de ses 100 ans, nous conte à travers ses souvenirs, la vie quotidienne de son époque. Ponctuée d’événements marquants tels que les guerres, elle dresse un récit riche en détails, qui nous éclaire sur la réalité Corse d’autrefois. Des morceaux de vie, qui paraissent parvenir à Marie-Françoise comme si elle les avait vécu hier.
Une table ronde organisée par Le Collectif 50/50 se tiendra à 16h, Le Collectif 50/50 réunit à ce jour plus de 1500 professionnel.le.s de la création et de l’industrie du cinéma et de l’audiovisuel français. Structuré comme un action tank, le Collectif s’engage solidairement dans une réflexion et un combat pour l’égalité, la parité et la diversité dans l’industrie cinématographique et audiovisuelle.
Cette table ronde sera précédée de Genre Quoi-On se mélange pas de Julie Allione
Ce qui est drôle c’est que tout le monde s’offusque quand on interroge sur le manque de mixité de la société corse, et puis petit à petit réalise qu’autour de nous il semble souvent naturel de voir les filles d’un côté et les garçons de l’autre.